La cache à Maxime devient une galerie d’art temporaire
SCOTT. Dans le but de rendre accessible l’art au plus grand nombre de personnes possible, le Salon régional des arts en Chaudière-Appalaches, en collaboration avec La cache à Maxime de Scott, invite la population à venir découvrir les cinq artistes qui participent à la première édition de la galerie éphémère. Le vernissage a eu lieu le jeudi 4 juillet dernier.
Ces artistes sont Yann Lemieux et Hugo Landry de Québec, Marie-Claude Fleury de Thetford Mines, Martine Chassé de Vallée-Jonction et Marie Bélanger de Danville. « Je suis tombé en amour avec vous cinq! […] Vous nous faites vibrer, vous nous amenez ailleurs », est enthousiaste Stéphane Parent, directeur général de La cache à Maxime. Celui-ci prépare d’ailleurs une surprise en 2020, laquelle fera le pont entre le vin et les créations artistiques. À suivre…
« Avec la galerie éphémère, nous serons toujours en renouveau. Nous allons nous faire connaître davantage et on va nous prendre au sérieux », a affirmé Pierrot Poulin, président du Salon régional des arts en Chaudière-Appalaches, dont la 18e édition se tiendra du 25 au 27 octobre prochain au centre multifonctionnel de Vallée-Jonction.
Du côté de Luc Provençal, député de Beauce-Nord, il a souligné le caractère coloré et très diversifié des œuvres présentées. « C’est toujours intéressant de découvrir la force et la créativité des artistes. C’est un plaisir pour les yeux », dit-il. Également, il a rappelé l’importance de faire connaître les artistes et de les encourager en achetant des toiles.
En ce qui a trait aux participants, Yann Lemieux est d’avis que La cache à Maxime est « l’un des plus beaux endroits qu’ils pouvaient choisir » pour tenir une galerie éphémère. En outre, les salles de réunion, mariages et restaurants offrent une clientèle qui ne se présenterait peut-être pas dans une galerie d’art.
L’exposition prendra fin le 6 octobre prochain avec l’activité de clôture intitulée « Art, culture et vendange ». Pour le moment, l’objectif est de lancer trois galeries éphémères par année.