Un autre 25 000 $ pour la jeunesse

JEUNESSE. Le désormais traditionnel événement jeunesse de Desjardins, pour les Caisses de Beauce-Centre et de La Nouvelle-Beauce, a eu lieu le mardi 12 juin dernier au Centre Caztel de Sainte-Marie. À cette occasion, 30 bourses ont été remises à autant de jeunes inscrits aux études secondaires, à la formation professionnelle, au collégial et à l’université.

En tout, ce sont 25 000 $ qui ont été remis. « Les bourses sont un coup de pouce pour aller à l’école dans des conditions favorables », a soulevé Marie-Josée Fecteau, directrice de la Polyvalente Benoît-Vachon de Sainte-Marie. Mme Fecteau a également félicité les participants d’avoir « pris le pas » en s’inscrivant au tirage des bourses et les a invités à continuer de « prendre le pas » dans l’avenir.

« Nous avons bonifié notre programme. Nous sommes rendus régionaux parce qu’on voulait quelque chose de substantiel pour les jeunes. On veut les aider et les bourses donnent un encouragement », a lancé quant à lui Daniel Duel, directeur général de la Caisse de La Nouvelle-Beauce.

M. Ruel, jouant les journalistes sportifs, s’est entre autres amusé à interviewer l’athlète de snowboardcross Éliot Grondin, avant de lui remettre une bourse pour l’aider dans son parcours vers les Jeux olympiques de Pékin en 2022.

Il est à noter que juste avant l’événement jeunesse, Desjardins avait accueilli au Centre Caztel tous les gagnants de la caisse scolaire. Ceux-ci ont été choisis au hasard parmi les enfants de toutes les écoles primaires du territoire qui avaient fait au moins sept dépôts dans leur compte bancaire au cours de l’année.

Le monde de demain

La soirée avait débutée par la conférence « Un regard sur l’avenir » par Ravi Por, conseillère en intelligence d’affaires chez Desjardins. Notamment, elle a abordé l’optimisation de notre temps grâce à l’intelligence artificielle, la place des technologies dans nos vies, l’école de même que les emplois du futur.

« Ce que vous connaissez de l’école aujourd’hui va être à des kilomètres demain. […] Environ 65 % des jeunes qui vont présentement à l’école exerceront un métier qui n’existe pas encore. Vous avez l’opportunité de moduler le métier que vous voulez! », est-elle enthousiaste.