Solidarité pour le Symposium

PEINTURE. Le Salon régional des arts en Chaudière-Appalaches, dont la 18e édition se tiendra du 25 au 27 octobre prochain au centre multifonctionnel de Vallée-Jonction, vient de lancer sa campagne de financement. Avec la sollicitation des entreprises et les dons du grand public, on espère amasser 20 000 $ afin de couvrir les frais des deux prochaines années.

Afin d’appuyer les efforts du comité organisateur, celui-ci a fait appel à huit de ses anciens présidents d’honneur, soit les gens d’affaires Benoît Paré (Salon funéraire Nouvelle-Vie), Jocelyn Faucher (retraité Desjardins), Marc Lessard (Assurexperts Lessard et associés), Richard Lehoux (candidat pour le parti Conservateur aux prochaines élections fédérales), Richard Grenier (Le Forgeron d’Or), Nancy Labbé (Chambre de commerce et d’industrie Nouvelle-Beauce), Claude Drouin (Développement économique Nouvelle-Beauce) et Michèle Michaud (Cliche Auto Ford). Chacun d’eux mettra ses amis et connaissances à profit afin de convaincre la communauté d’affaires de mettre les mains dans leurs poches.

La campagne de financement a été lancée officiellement le mardi 4 juin dernier au Restaurant St-Vincent Café Bistro de Vallée-Jonction et terminera à la fin du mois d’août. Pour les personnes qui souhaiteraient soutenir la campagne, contactez les responsables via le http://srda.ca/

Le Symposium en 2019

Un millier de visiteurs et une quarantaine d’artistes sont attendus au Salon de Vallée-Jonction, dont la présidente Isabelle Desrochers de Québec, l’artiste peintre animalier Jean-Yves Crispo également de Québec, et la sculptrice Mimi Verreault d’Inverness.

« La Beauce va finir par être reconnue en art et en culture. C’est le Salon le plus important en Chaudière-Appalaches! », a affirmé Claude Drouin. Pierrot Poulin, président du Salon, a quant à lui rappelé que le Symposium est une activité gratuite et n’a pas d’autres revenus que ceux de la vente de billets pour le tirage d’une toile. De plus, le comité y travaille bénévolement. « Des gens ont mis beaucoup d’huile de bras pour le partir », d’ajouter Benoît Paré.