Patrick Blais allume à moins une

Patrick Blais de Saint-Eugène-de-Grantham (précédemment de Saint-Georges) avait jusqu’au 23 mars pour effectuer 240 heures de travaux communautaires. N’en ayant réalisé aucune au lundi 21 mars, il a demandé un délai supplémentaire à la cour.

Le motif mentionné par l’homme de 36 ans était que dans la dernière année, il devait trouver un emploi stable afin d’avoir le droit de voir ses enfants. Devant le juge Jean Asselin, il a toutefois confirmé avoir trouvé un organisme à proximité de son lieu de résidence.

« Si on était face à un individu qui avait fait un effort, je serais beaucoup plus sympathique. Si vous ne vous mobilisez pas, ce sera peut-être l’établissement de détention qui va vous accueillir », a commenté M. le juge, en lui accordant à reculons un rééchelonnement de six mois.